VAZY
Vazy l’application qui récompense les mobilités alternatives et développe l’activité en centre ville
- Mobilité Active
Opérationnelle depuis novembre 2021, l’application Vazy permet à ses utilisateurs de comptabiliser leurs déplacements doux et de cumuler des points, convertibles en remises, chez des partenaires de la métropole lyonnaise, commerces locaux et acteurs de la culture ou du loisir.
En lançant, en novembre 2021, l’application Vazy, Loïc Robbiani avait une idée en tête : celle de promouvoir les mobilités douces et dynamiser le commerce indépendant.
Ce dirigeant de 54 ans, qui a pris ses quartiers à la pépinière d’entreprises LYVE de Neuville-sur-Saône, entend, avec ce concept, récompenser ceux qui mettent de côté leur voiture, notamment pour de courts trajets.
Principe ? Les particuliers, qui utilisent Vazy – téléchargée gratuitement – sont géolocalisés par l’appli, et cumulent des points avec tous les km parcourus, à pied, à trottinette ou à vélo.
Les points obtenus sont ensuite convertibles, à tout moment, en remises, auprès de partenaires locaux, qui peuvent être des commerces, des acteurs de la culture, du loisir ou du sport. « L’idée n’est pas de ‘‘taper sur les doigts » de ceux qui prennent leur voiture, mais juste de valoriser le geste de ceux, qui optent pour une mobilité douce », explique-t-il.
Le cap des 5 000 utilisateurs passés Vazy, qui vient de passer le cap des 5 000 utilisateurs (qui était l’objectif initial sur une première année pleine) et 120 partenaires de l’agglo lyonnaise, développera dans quelques semaines une offre en BtoB, en s’adressant à des entreprises et collectivités qui incitent leurs salariés à opter pour la marche, le vélo ou la trottinette.
Grâce à son algorithme, l’appli permettra de collecter les données de mobilité décarbonée des employés, ce qui permettra aux entreprises de mettre en lumière les bonnes pratiques, développées au sein de leur organisation.
Pour passer à la vitesse supérieure et se développer dans d’autres villes françaises, Loïc Robbiani envisage une levée de fonds de 300 000 €, au 2 semestre. La structure, qui fonctionne, pour l’heure, avec deux alternants et qui est accompagnée par un développeur commercial, un développeur et un graphiste, devrait ainsi recruter ses premiers salariés et « internaliser le développement ». Une dizaine de personnes pourrait ainsi rejoindre le fondateur, en 2023.
En lançant, en novembre 2021, l’application Vazy, Loïc Robbiani avait une idée en tête : celle de promouvoir les mobilités douces et dynamiser le commerce indépendant.
Ce dirigeant de 54 ans, qui a pris ses quartiers à la pépinière d’entreprises LYVE de Neuville-sur-Saône, entend, avec ce concept, récompenser ceux qui mettent de côté leur voiture, notamment pour de courts trajets.
Principe ? Les particuliers, qui utilisent Vazy – téléchargée gratuitement – sont géolocalisés par l’appli, et cumulent des points avec tous les km parcourus, à pied, à trottinette ou à vélo.
Les points obtenus sont ensuite convertibles, à tout moment, en remises, auprès de partenaires locaux, qui peuvent être des commerces, des acteurs de la culture, du loisir ou du sport. « L’idée n’est pas de ‘‘taper sur les doigts » de ceux qui prennent leur voiture, mais juste de valoriser le geste de ceux, qui optent pour une mobilité douce », explique-t-il.
Le cap des 5 000 utilisateurs passés Vazy, qui vient de passer le cap des 5 000 utilisateurs (qui était l’objectif initial sur une première année pleine) et 120 partenaires de l’agglo lyonnaise, développera dans quelques semaines une offre en BtoB, en s’adressant à des entreprises et collectivités qui incitent leurs salariés à opter pour la marche, le vélo ou la trottinette.
Grâce à son algorithme, l’appli permettra de collecter les données de mobilité décarbonée des employés, ce qui permettra aux entreprises de mettre en lumière les bonnes pratiques, développées au sein de leur organisation.
Pour passer à la vitesse supérieure et se développer dans d’autres villes françaises, Loïc Robbiani envisage une levée de fonds de 300 000 €, au 2 semestre. La structure, qui fonctionne, pour l’heure, avec deux alternants et qui est accompagnée par un développeur commercial, un développeur et un graphiste, devrait ainsi recruter ses premiers salariés et « internaliser le développement ». Une dizaine de personnes pourrait ainsi rejoindre le fondateur, en 2023.
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