Sustainable tourism – circular benefits and challenges

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  • Appel à projet européen
  • Projet porté par Driving Urban Transition – Circular Urban Economies
  • Budget alloué : La plupart des projets devraient avoir un budget total d'environ 1 à 2 millions d'euros.
  • Fin des candidatures : 23 avril 2026
  • Durée du projet : 36 mois
  • Projet déposé en : Appel à projet

Objectif

Développer et mettre en œuvre des stratégies touristiques circulaires, vertes et inclusives permettant de prévenir ou d’atténuer les impacts sociaux, économiques et environnementaux négatifs, tout en améliorant la qualité de vie et la résilience des destinations urbaines établies ou émergentes.

Priorités

➡️ Élaborer des politiques innovantes conciliant développement touristique durable et accessibilité au logement, pour lutter contre la gentrification, la hausse des coûts, et garantir une répartition équitable des bénéfices au sein des communautés locales.

➡️ Promouvoir des pratiques d’économie circulaire dans le tourisme, en réduisant les déchets (emballages rechargeables, recyclage local), encourageant une consommation responsable et des modèles de tourisme lent et écoresponsable qui préservent les identités culturelles et les écosystèmes locaux.

➡️ Renforcer l’intégration des systèmes alimentaires locaux avec le tourisme, en soutenant les producteurs régionaux, les circuits courts et l’entrepreneuriat communautaire pour une durabilité sociale, économique et environnementale accrue.

Eligibilité

Entités juridiques telles que (non exhaustif) :

  • organismes de recherche (établissements d’enseignement supérieur, y compris les universités et les collèges universitaires ; instituts de recherche ou autres entités menant des activités de recherche),
  • entreprises et organisations commerciales,
  • autorités gouvernementales urbaines (telles que les institutions gouvernementales locales et régionales, les municipalités et les organisations municipales, les autorités municipales, les administrations publiques urbaines, les fournisseurs d’infrastructures et de services),
  • les consommateurs et les représentants de la société civile (par exemple, les organisations locales et communautaires, les organisations non gouvernementales, les organisations à but non lucratif, les groupes de défense et d’activistes, les représentants des citoyens, les initiatives de quartier, les innovateurs sociaux, les entrepreneurs sociaux, etc.
  • Issus des secteurs culturels et créatifs (par exemple, les artistes et les designers).

Chaque proposition doit être soumise par un consortium composé d’au moins trois candidats éligibles provenant d’au moins trois pays participants différents (voir l‘annexe A pour plus de détails).

Les propositions sont généralement soumises par des consortiums de petite à moyenne taille (impliquant 3 à 5 organismes de financement), mais des consortiums plus importants sont autorisés s’ils sont dûment justifiés.

Les consortiums doivent veiller à une représentation équilibrée des pays et à une répartition équilibrée du budget ; aucune entité ne peut dépasser 50 % du total des mois-personnes.

L’inclusion d’au moins un partenaire issu du secteur des entreprises, des consommateurs ou de la société civile est fortement encouragée, conformément aux critères d’éligibilité nationaux/régionaux.

Composition du consortium

Candidat principal : dirige le projet, assure la liaison avec le secrétariat de l’UID, veille à la mise en œuvre et à l’administration.

  • Co-demandeurs : éligibles au financement ; plusieurs par pays autorisés ; peuvent être amenés à désigner un point de contact national.
  • Partenaires de coopération : non financés ; peuvent participer s’ils sont autofinancés ; doivent fournir une lettre d’intention ; ne sont pas pris en compte dans le calcul du seuil d’éligibilité minimum.

Au moins deux des demandeurs éligibles doivent provenir d’États membres (EM) ou de pays associés (PA) différents de l’UE.

Activités éligibles

➡️ Recommandations fondées sur des données probantes à destination des décideurs politiques, collectivités locales et acteurs économiques.

➡️ Modèles et stratégies innovants pouvant être testés ou mis en œuvre dans des destinations touristiques.

➡️ Outils pratiques et cadres pour intégrer les principes d’économie circulaire urbaine dans le tourisme.

➡️ Études de cas et bonnes pratiques issues de divers sites touristiques européens et internationaux.

➡️ Méthodes pour aligner les objectifs touristiques avec les intérêts des communautés locales.

➡️ Recommandations politiques pour lutter contre la gentrification induite par le tourisme à l’échelle des quartiers.

Vous souhaitez candidater ?

Les pré-propositions sont attendues avant le 17 novembre 2025.

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